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Dossier/Chefferie traditionnelle au Togo: qui divise tant les arrières-fils de l’ancêtre Johannes GBENYEDZI ?

La Rédaction
La Rédaction 17 juillet 2024
Updated 2024/07/17 at 3:11 PM
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Qui divise tant les arrières-fils de l’ancêtre Johannes GBENYEDZI ? A cette question, les avis divergent: les égos par-ci, la richesse par-là.  « Les gens honnêtes et consciencieux abhorrent les filous », dit-on. Si cette assertion s’avère, y a-t-il des honnêtes et des filous  dans le rang des arrières-fils et arrières-filles du patriarche feu Johannes GBENYEDZI à Lomé?  Si oui, qui sont les honnêtes et qui sont les filous? Ou sont-ils tous des vauriens de même acabit ? On a l’impression qu’il existe deux ou plusieurs camps au sein de la famille qui s’affrontent sur les grandes questions, chacun selon son intérêt. Nombreux sont ceux qui traiteront ce texte d’acéré sans se soucier de l’acrimonie que le cas Gbenyedzi-kope cause pour beaucoup d’hommes. Cet article n’a pas pour but de nuire à qui que ce soit, mais essaie de rétablir certaines vérités et appeler un chat gris, par son vrai nom. C’est qu’un chat gris est un chat gris et on veut l’appeler ainsi. Il ne faut pas qu’il se déguise en noir et continue de hanter les esprits des honnêtes et braves gens qui pensent du bien au quartier. Qui parmi les descendants de GBENYEDZI qui tire les ficelles dans l’ombre pour empêcher que Gbenyedzi-kope ait un chef traditionnel ? Tous se disent honnêtes, blancs comme la neige, amoureux de leurs frères et sœurs, bref prônent l’unité de la grande famille, mais n’arrivent pas à se regarder yeux dans les yeux. Qu’en est-il exactement ? Qui, tapit dans l’ombre, continue par trahir le projet familial de chefferie traditionnel, pour le bien et le bonheur des populations et riverains de Gbenyedzi-kope ? Ce comportement ne sera plus pris pour une simple peccadille. Ils doivent être démasqués et dénoncés. Qu’est-ce qui fait tarder à nouveau le choix d’un sage pour le trône royal à Gbenyedzi-kope ? Juste quelques minutes d’immersion dans ce dossier pour en savoir un peu plus. A part, les égos, la richesse ou l’héritage, s’y greffe l’avarice des uns, toutes choses qui concourent au retard du chef ou à la destruction de la famille, pensent certains habitants du quartier.

Johannes GBENYEDZI 

En effet, sur cette terre des hommes, la vie est aussi belle que brutale. Toutes les stratégies sont bonnes à développer pour sauvegarder sa lignée. Pour y arriver, il fallait trouver de quoi se nourrir, se protéger et ensuite, assurer sa descendance. Ce principe très fondamental pour l’homme africain, l’ancêtre feu Johannes Gbenyedzi ne s’y est pas escamoté. Il a,  bien sûr que oui, assuré son arrière. Solitaire, peut-être, en son temps sur un terrain hostile, parsemé d’embûches (la brutalité, l’envie, le dédain, les forces du mal, bref, l’homme étant un loup pour l’homme), il a su user de tous les moyens de ruses pour surmonter tout cela et arriver là où on en est aujourd’hui. Le vieux père, feu Johannes GBENYEDZI n’a pas vécu inutilement. Plus d’une dizaine de fils et peu de filles, il en a eu. Mais comme la vérité ne trompe jamais, tôt ou tard,  chaque être-humain vivra l’élimination de sa conscience, soit à la fin de sa vie, soit par décret de Dieu, créateur. Ainsi, l’homme passe et la terre demeure. Au jour d’aujourd’hui, on est devant le fait accompli : Johannes GBENYEDZI et ses descendants directs ne sont plus sur la terre des vivants. Mais, ses arrières-fils et arrières-filles, ses biens, on ne peut pas en compter au bout des doigts. Un scandale ou un atout à exploiter ? La question change de réponses au fur et à mesure que chacun y pense. On n’oublie plus que jamais le sacrifice consenti par ce vieux pour laisser, derrière lui, un héritage aussi colossal qu’on ne peut imaginer et qui, au lieu de rassembler, divise. Le travail, rien que le travail, la constance, la prudence, la prévoyance, la détermination, la vaillance et la force, voilà  les quelques traits caractéristiques de la vie de l’homme. Et pourtant !

Comment l’ancêtre Johannes GBENYEDZI a-t-il pu se construire ?

Les Allemands avaient construit un premier wharf métallique qui avait commencé le 1er novembre 1901 et s’est achevé en fin 1904 à Lomé. Des Africains étaient à leur service souvent pour des travaux non qualifiés. Entre 1901 et 1902, l’administration coloniale avait mis à la disposition des ingénieurs allemands 350 travailleurs forcés venus de l’hinterland pour transporter les piliers métalliques et les rails. En Mars 1902, 15 forgerons Africains dont 10 venus d’Accra ont été engagés pour les travaux de rivage du wharf sur la côte. L’ancêtre Johannes GBENYEDZI faisait partie de ces travailleurs africains. Imaginez-vous même dans quelle vague il se serait trouvé. Il fut d’ailleurs un instruit, parlant couramment l’Allemand. Was sagen sie ? Deutsch kannt er sehr gut sprechen ! De toute façon, c’était un homme intelligent et travailleur. Et tout ce qu’il avait gagné en termes d’économie dans ce travail de construction du premier wharf au Togo fut utilisé pour bâtir un empire foncier  qui constitue aujourd’hui la pomme de discorde pour ses descendants. De grâce, mettez-vous à la place du vieux ! Après le travail du wharf, il s’est converti dans l’agro-pastorale. Beaucoup de terrains acquis ailleurs ont servi des champs, mais tout Gbenyedzi-kopé est un véritable camp de troupeaux de bœufs. Voilà l’homme. Tout ça, pour ça? C’est pitoyable.

Selon des indiscrétions, certains descendants de la famille se prennent pour de petits dieux. Leurs égos démesurés les placent au-dessus des autres. Ils décident tous seuls de ce qui va se dire ou se faire dans la famille. Comme on pouvait le remarquer, là où le mensonge, la haine, la calomnie, les pièges sans fin, les manœuvres dilatoires s’installent, la méfiance s’y invite. La famille GBENYEDZI est devenue telle que tout le monde se regarde en chien de faïence. Dans de pareilles situations, comment pourrait-on, un jour, s’assoir autour d’une table et discuter du bien de la famille ? Comme le dit un proverbe éwé: « Du gan ma dé kpa, du vi dékpa yé gba nè », c’est-à-dire « Si un gros village qui ne se concerte pas, c’est un petit village qui le détruit ». Gbenyedzi-kope n’est pas un petit village. D’ailleurs, c’est l’un des quartiers les plus chics et calmes de Lomé. Un quartier des os rares. Mais seulement, le voilà ! C’est un petit quartier qui n’existe que de nom et dont les limites ne sont pas trop claires; et voilà c’est le petit quartier Alaglo qui lui dame le pion. Quelle honte ?!? Alaglo a un chef traditionnel et c’est lui, apparemment, qui essaie de guider les populations sur les voies des us et coutumes. Gbenyedzi-kopé, non ! Les raisons ne sont pas si simples à savoir.

A la mort du patriarche le 17 mars 1940, c’est, en réalité, l’un de ses fils, Komlan GBENYEDZI, qui a pris la gestion du patrimoine familial. Beaucoup ont témoigné de sa bonne foi et son penchant pour l’unité et le bonheur de la famille. Quoi de plus normal ? Mais très vite, certains individus, membres de la famille mal intentionnés ont choqué le reste du groupe par des médisances sur leur grand-frère, le traitant d’illettré, comme si l’école était hautement le chiffre de l’accomplissement. Ils ont fini par le déchoir de son poste et c’est le début d’une crise de confiance qui s’est installée au cœur même de la famille. Après lui, le benjamin de l’ancêtre, Ernest GBENYEDZI s’est autoproclamé représentant du patrimoine de la famille. Lui, c’est plutôt la catastrophe (« eine Katastroffe », sagen die Deutsche), en ce sens qu’il s’est, à  un moment donné de sa gestion purement et simplement opaque, arrogé le droit de s’accaparer une partie des terres située à Togble-kopé. Il a même tenté de la vendre en son nom propre, au Port autonome de Lomé, avant de se faire dérouter par certains membres de la deuxième génération. Une affaire qui a trouvé son épilogue devant les tribunaux de Lomé, avec la victoire tonitruante de la grande famille sur Ernest GBENYEDZI. C’est dans ce tohu-bohu que l’initiative d’un comité tripartite a été prise et s’est réalisée sous la haute supervision de Robert GBENYEDZI et feu Antoine GBENYEDZI, deux sages de la famille. Ce comité est composé de Marcel GBEGNEDZI, Afatchao GBEGNEDZI et Régine GBEGNEDZI et a pour but de coordonner les choses et préserver la réputation de la famille. Une question est de savoir si le comité, à ce jour, honore ses engagements. On en est là lorsque, par décret, Dieu rappela Antoine GBENYEDZI pour une autre mission dans son royaume. Paix à son âme !!! Les comptes étaient-ils bons avant son départ ? Seul Robert GBENYEDZI, l’un des deux sages pourra en dire long mais, toujours est-il que l’envie de dominer l’autre et la haine ont resurgi et les gros projets à l’avantage de la famille dorment toujours dans les tiroirs. Tout ceci jusqu’à quand ?

Où en est-on avec la question de la chefferie traditionnelle ?

Selon les révélations des ayants-droit qui ont fait publier un droit de réponse suite à un article incriminant certains des leurs dans un journal de la place, la question de la chefferie traditionnelle est prise au sérieux par la collectivité GBENYEDZI qui comptait, dans un bref délai, réunir les arrières-fils et arrières-filles du patriarche pour former le Conseil du Trône royal qui, à son tour, va désigner celui-là qui pourra représenter valablement la famille et devenir le chef. Des années ont écoulé mais, rien n’est encore audible ni perceptible dans le quartier. Selon les mêmes sources, en 2020, les sages de la famille ont demandé par le canal d’une lettre à chaque souche d’envoyer un représentant pour constituer le comité de trône. Mais, le comité tripartite affirme que nul n’a daigné répondre à la lettre. Les sages ont relancé la demande, et c’est en ce moment qu’une seule partie envoie son élément. Des sources indiquent que les tractations avaient avancé et même remonté jusqu’à Togbui AKLASSOU, chef canton de Bè, qui tarde à l’introduire  au ministère de l’administration territoriale, de la décentralisation et des collectivités locales. Au fait, il leur a été demandé de soumettre un nom qui va représenter la famille et devenir le chef du quartier. Et depuis, c’est silence radio. Plus rien ne bouge sur la ligne. Pourquoi ?

 Ce qui explique cet état de fait est qu’il existe réellement une crise profonde de confiance en interne liée au litige foncier entre eux-mêmes et qui oblige les uns et les autres à se recroqueviller  et à éviter de s’assoir avec l’autre, le regarder droit dans les yeux et lui parler. Sinon, comment comprendre, pour le projet de chefferie traditionnel, un projet de telle envergure, c’est par courrier interposé qu’on va demander aux membres de la collectivité d’envoyer leurs candidats, alors qu’on vit presque tous dans le même pré-carré ?  De 2020 à aujourd’hui, où en est-on ? Eh bien, il y en a qui se reprochent de quelque chose envers la famille. Sachant pertinemment que pendant longtemps, ils ont barré la route aux honnêtes frères consanguins, ils ont causé du tort à beaucoup d’autres et qu’ils ne peuvent pas se pointer et prétendre être chef du quartier, ils sont restés dans leurs coins et continuent leurs sales besognes. Dans leurs têtes, c’est que sans eux, nul ne passera. Mais le mal est qu’ils n’osent le dire à personne. Ils sont là à longueur de journée, à lancer des piques à ceux qu’ils pensent appréciés et favoris dans la famille. C’est malhonnête, ça là non ? Les membres de la famille GBENYEDZI n’arrivent pas à se réunir autour d’une table et discuter de la question de la chefferie traditionnelle, mais il y a des gens qui se font déjà appeler « TOGBUI », c’est-à-dire, chef. C’est bizarre ça là non ? On est où là ?

Le partage illégal des biens entre, au prime abord, les fils et filles et ensuite les arrières-fils et arrières-filles du patriarche constitue le principal point de désaccord. Au départ, les filles descendantes directes de feu GBENYEDZI n’en ont pas bénéficié sous prétexte qu’elles ne sont pas des garçons et que leurs aventures mariales les amèneraient loin de la maison de leur père. C’était de coutumes en Afrique noir. Nul ne peut le nier. Mais les nouvelles donnes du foncier au Togo disposent qu’une fille est aussi comme un garçon, un enfant à papa et doit, à ce titre, bénéficier de tous les biens que possède son géniteur. Ceci étant, les GBENYEDZI ont tenté de rétablir les torts causés aux filles de leur grand-père, en voulant octroyer des parcelles de terres aux descendants de celles-ci. Une très bonne attitude ! Malheureusement, là aussi, certains, par leur manigance et leur malignité, ont tout fait pour donner à ces enfants, des parcelles qui se retrouvent être des autoroutes dans le plan de développement des infrastructures routières du Togo. Cette situation n’a fait qu’aiguiser la haine et le désamour qui ont pris racines dans la famille depuis belles lurettes, à cause de l’égoïsme accru et surdimensionné de certains membres qui font flèches de tout bois pour  disloquer la famille et dominer les autres sur tous les compartiments. L’une des preuves montrant que la famille reste loin d’être unie en est qu’au dernier partage des terres au lieudit Gbenyedzi-zogbevi, ces individus véreux qui se reconnaissent entre eux, ont approché leurs jeunes frères, qu’ils pensent n’avoir pas les moyens, avec l’intention de leur racheter leurs parcelles. Ce qui fut fait. N’est-ce pas une autre manière de déposséder son frère du bien patrimonial qu’il a pu gagner  par patronymie? Est-ce que ce genre de pratiques se fait en Afrique noire? En temps normal, le frère acquéreur, même si c’est le jeune qui l’a approché, devrait déconseiller son jeune frère de ne pas vendre sa parcelle sous prétention que c’est un bien patrimonial, et que si le vieux l’avait vendu, il n y’en aurait pas pour lui aujourd’hui. Mais, hélas ! Le comble, c’est quand il y avait eu un litige foncier entre les collectivités GBENYEDZI et ADELA (Bè) autour des terres de Gbenyedzi-zogbevi. ADELA se réclamait propriétaire desdits terrains alors que cette zone fait partie intégrante du patrimoine familial de GBENYEDZI. Devant une telle situation, imaginez-vous, des descendants de GBENYEDZI, exploitant la division profonde au sein de la famille, ont cautionné la collectivité ADELA. N’eut été le droit qui fut dit devant les tribunaux de Lomé, cette partie des terres serait arrachée à la famille. Mais au finish, au moment du partage, les sages n’ont oublié personne. Tous, y compris ceux qui ont donné leur caution à la collectivité ADELA, ont reçu leurs parts. Dommage !

Les GBENYEDZI, à les voir sillonner les artères de Lomé, ou partout ailleurs au Togo ou dans le monde, on comprendrait mieux qu’ils ne sont pas de la dernière pluie. C’est une très grande famille qui a sa partition à jouer dans l’édification de la cité togolaise. L’ancêtre en a fait pour sa part. Ses descendants devraient demeurer dans la continuité et poursuivre l’œuvre que leur grand-père leur a léguée, tout ceci, dans la paix et la concorde. L’amour partagé et la recherche du bonheur pour les uns et les autres doivent être le pain quotidien de tous. C’est à ce seul prix que l’on pourra rester soudé et empêcher l’ennemi de s’infiltrer dans le rang. De cette façon, toutes les réunions pourraient se tenir en temps réels et l’on pourra être en mesure de débattre de toutes les questions, mêmes les plus énigmatiques pour le développement et le bonheur du quartier qui porte le nom du patriarche. C’est un honneur d’ailleurs. Dans tous les cas, les habitants du quartier Gbenyedzi-kopé ont besoin d’un chef. Si les enfants de feu Johannes GBENYEDZI n’en ont pas besoin, tant pis pour eux et c’est de bonne guerre.

Nous y reviendrons

Mesmer MOTCHO

La Rédaction 17 juillet 2024
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